28 janvier 2006
Déglinguée. De ton corps vitriolé ne restait que
Déglinguée. De ton corps vitriolé ne restait que l’essence pure de mes envies détachées, ton corps admiré sitôt les matins déneigés aux salaisons d’automne d’un réveil étranger. Une ligne de route si blanche que ta narine frémissait d’envie le soir encore,...